WhatsApp est remplacé par Threema - du moins dans les forces armées suisses. Les raisons en sont les problèmes de sécurité et la protection des données.
- Les membres de l'armée suisse ne sont plus autorisés à utiliser WhatsApp pendant leur service.
- À l'avenir, les instructions officielles ne seront transmises que via Threema.
- La décision est basée sur des problèmes de confidentialité et de sécurité.
WhatsApp a fait son temps dans l'armée suisse. Les membres de l'armée ne devraient plus utiliser l'application de messagerie de l' ancien groupe Facebook Meta pour la communication à l' avenir . Cependant, le commandement de l'armée suisse a déjà trouvé un remplaçant : Threema .
Comme le rapporte la SRF , l'armée suisse interdit WhatsApp ainsi que tous autres application de messagerie gratuits. La décision est basée sur des problèmes de sécurité et de confidentialité. Dans le cas de WhatsApp, un porte-parole de l'armée cite le Cloud Act, qui permet aux autorités américaines d'accéder à des données se trouvant en dehors des États-Unis.
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Un risque de sécurité potentiel que Threema n'a pas. Le service permet une utilisation anonyme, ne transmet pas de données personnelles ,Threema est basé en Suisse. Contrairement à de nombreux services de messagerie, Threema est payant et coûte une redevance unique de 3,99 euros.
Cependant, afin de faciliter au maximum la transition pour les membres de l'armée, les militaires sont remboursés pour tout les frais. Comme le rapporte en outre la SRF, l'armée suisse a déjà interdit d'autres services de messagerie dans leurre administration.
Vous cherchez une alternative à WhatsApp ? Nous avons comparé des messageries telles que Telegram, Signal ou Threema et nous vous montrons les différences les plus importantes.
Threema Work est utilisé ici. L'armée, quant à elle, devrait utiliser la version privée et exhorter les officiers à montrer l'exemple. Il reste à voir si l'exécution des ordonnances sera couronnée de succès.
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